Au XiXème siècle la médecine fit d'énormes progrès c'est certain. Mais cela parfois aux dépens de patients qui ont pu servir de "cobayes", comme il apparaît au détour d'une thèse lyonnaise de 1894 publiée sur Gallica et dont l'extrait reproduit ci-dessous raconte la mort douloureuse d'une Écochoise (née à Écoche elle vécut aussi à Arcinges).


Ce qui n'est pas précisé ici : son métier, tisseuse ; celui de son mari, navetier. Dans ses ancêtres, des meuniers à Belmont, à Mars...